Conseil des enfants : Séance du 27 février 2004
Présents : les représentants d’élèves
des classes de CE1-CE2, de CE2, de
CM1, de CM2.
Mme Réminiac, M. Guignouard.
Ordre
du jour :
Chaque
délégué résume la réflexion de chaque classe ; les délégués de la
classe de CP-CE1 sont observateurs.
à Le point de vue des médiateurs :
à Le point de vue des élèves de l’école :
En majorité
les élèves sont satisfaits du « travail » des médiateurs ;
leur présence permet de résoudre
des conflits.
Parfois, les médiateurs ne
prenaient pas assez de temps pour trouver une solution acceptable par tous.
Parfois, les médiateurs étaient
trop présents et généraient encore plus de disputes que s’ils n’étaient
pas intervenus.
Parfois, les médiateurs n’étaient
pas d’accord entre eux pour résoudre le conflit.
Les médiateurs d’âge CE2
avaient parfois des difficultés pour résoudre un conflit dans lequel étaient
impliqués des élèves plus âgés.
Le fait que les médiateurs
aient décidé d’être arbitre au foot et médiateurs a été bien vécu.
La nouvelle équipe de médiateurs
en place à la rentrée des vacances de février n’est pas très efficace.
à Les décisions prises :
La classe de CM2 propose qu’il y ait 2 médiateurs au foot : un médiateur-joueur
et un médiateur-observateur en alternance. La proposition est retenue.
Une règle est décidée : les maîtres et maîtresses auront le droit de
sanctionner un élève qui manquera de respect vis à vis d’un médiateur.
Pour boire à la fontaine : rappel de la règle : les élèves de la
cour y boivent pendant la récréation ; les élèves ayant joué au ballon
sur le terrain de sport sont prioritaires pour boire à la fontaine lorsque la récréation
se termine.
Une règle est
reprécisée : le médiateur intervient sur demande des
enfants en conflit sauf cas d’urgence ; chaque individu est néanmoins
responsable et signale une situation de « danger » par exemple une
situation où un des enfants est menacé par un autre et ne peut pas aller voir
un médiateur par peur de représailles.
Dans un souci d’impartialité, un médiateur n’intervient pas dans un
conflit où est impliqué son frère ou sa sœur.